Être handicapé n’est pas commode car cela prend du temps pour des faits simples. En clair avoir son bras droit en écharpe et attendre l opération est tout sauf amusant . La preuve, il est 4 heures et je suis debout. Avoir été dormir a 9 h j’ai dormi cela dit mais mal.
Douleurs
Le lien avec le diabète .
Je me disais justement que pour l’année qui vient et qui fêtera les 50 ans de vie commune avec le diabète je souhaite être en forme, avec un programme. Et la qui est trouble fête.
La chute, le moment où je bascule sur le bras, gère. Digère, respire. Pour ces douleurs insupportables car en bruit de fond. Ca irradie le long du bras et dans l’épaule. Prendre contre les idées des antidouleurs car a un moment ce n’est plus possible.
Glycémies
Heureusement mon quotidien n’est pas trop perturbé. Si ce n’est que je bouge moins, je me fais une marche par jour jusqu’au village, histoire de prendre l’air.
Le plus gênant est de dépendre de. De ne pas se laver comme je le veux. De prendre du temps pour couper un citron. Respire.
Prendre son mal en patience. Expression bien réelle. Ne plus pouvoir se déplacer en voiture et aller notamment chercher mes filles.
Période de reflexions. De se poser. De s’obliger. Juste se dire que c’est une parenthèse, que d’autres vivent cela au quotidien. Respect.
Main gonflée, normal. Les tests se suivent. Je me rends compte que je ne gère pas comme avant je me discipline. Pour jeter au fur et a mesure. Les gestes simples sont plus malaises, les changements de cathéter aussi. Plus difficile pour le capteur je me fais aider par ma douce. Et la 9 mois après l’ opération j au recupere mon bras avec une amplitude empêchée par la broche. Qui sera en principe bougée des que le chirurgien l aura décidé au mois de décembre soit un an après l’ opération. Douleurs au quotidien. Patience.